Les SR Colmar

euh nan jkroi pa quand j'allais voir l'equipe cfa du rcs il jouait a droite

tiens aujourd'hui dans les dna tritz rejoint les src.Cet un defenseur lateral plutot droit.

fcm a écrit:c'est un défensur central jean-mi

Non je suis d'accord avec Jean Mi c'est un défenseur latéral droit.

je peux me trompé
les gars

CFA : après SR Colmar - Dunkerque (2-0)

« Chacun sa chance »


Julien Michon (à droite) à propos de Julien Olivier : « Il a su saisir sa chance. C'est ce qui fait la force de notre groupe. » (Photo DNA - Julien Kauffmann)


Vainqueurs probants de Dunkerque, samedi au Stadium, les SR Colmar pointent à nouveau le bout de leur nez sur le podium. Le capitaine par intérim, Julien Michon, insiste sur la richesse de l'effectif et sur la solidarité qui y règne.

Impossible de sortir un Colmarien du match après la performance des Verts. La preuve, Damien Ott n'a pas effectué le moindre changement de tout le match. « Je les avais prévenus à la mi-temps : au moindre signe de relâchement, je change, raconte l'entraîneur colmarien. Et ils ne se sont jamais relâchés. Il n'y avait rien à corriger, je n'ai rien corrigé. On est en CFA. A ce niveau-là, on ne fait pas des remplacements pour faire plaisir aux gens, mais pour le bien de l'équipe. »

« Féliciter ceux
qui ne jouent pas »


Impeccable patron du milieu de terrain, Julien Michon, veut retenir l'envie collective de son équipe après une période d'incertitudes. « On ne savait pas trop où on en était, même si le nul à Lens nous a fait du bien. Malgré le manque de compétition on a toujours continué à s'entraîner très dur dans des conditions difficiles. Quand il fait -10°C, il peut y avoir une certaine forme de lassitude qui s'installe. Ça n'a pas été le cas chez nous. »
Les conséquences des nombreuses blessures des mois écoulés (Kittler, Faivre, Guy, Miollany) ont été atténuées par les arrivées de Sylvain Meslien (Colmar n'a pas encaissé de but ces deux derniers matches) et de Thomas Zerbini et Stéphane Tritz, les deux anciens strasbourgeois.
« Le club a recruté avec la bonne philosophie. Ce sont des joueurs qui adhèrent à l'état d'esprit du groupe. Tous les postes sont doublés. Je veux d'ailleurs féliciter ceux qui ne jouent pas. Ils continuent à travailler. Et un jour ou l'autre, ils sont récompensés. Regardez Julien Olivier, par exemple. Il n'a pas joué pendant un bout de temps, mais il n'a jamais lâché. Et ce soir (samedi) il marque et fait un super match. C'est un bon exemple : chacun à sa chance. D'autant plus qu'on a même pas encore joué tous nos matches aller. Ici, personne n'est incontournable. »

« Que j'ai le brassard ou pas,
sur le terrain, je l'ouvre... »


Même Julien Michon, élu capitaine par intérim par ses partenaires ? « Être capitaine ça fait plaisir, c'est sûr. Mais fondamentalement ça ne change pas grand-chose. Que j'ai le brassard ou pas, sur le terrain, je l'ouvre... En fait ce qui me gêne c'est que si je suis capitaine ça veut dire que Régis Kittler n'est pas là. Et ça, quand on sait ce qu'il représente pour le club, ça me fait chier. »


Mathieu Pfeffer
DNA 02/02/2009

SR Colmar Meslien : « Je suis vraiment bien tombé »


Avec Sylvain Meslien (à droite), les Verts ont renoué avec le succès. Photo Yannick Bohn

Depuis la reprise, les Verts ont pris six points et comme au début de saison, la défense est restée inviolée. L’arrivée de Sylvain Meslien n’y est sans doute pas étrangère.

Par la force des choses, suite aux blessures graves de Mathieu Guy, Régis Kittler et Cédric Faivre, les dirigeants colmariens se sont mis au travail durant le mercato pour tenter de combler les trous. « On a surtout profité de belles opportunités, remarque Dominique Lihrmann, le manager général. Et je pense qu’on est une nouvelle fois bien tombé. »
La priorité était de trouver un joueur chevronné, susceptible de remplacer Mathieu Guy en défense. Et c’est du côté de Pau qu’ils ont cherché Sylvain Meslien, un défenseur central de 28 ans qui était sans club, mais qui n’était pas inconnu du côté de Colmar. Après avoir fait ses classes à Saint-Etienne (4 matches en Ligue 1), Sylvain Meslien a en effet été transféré à Troyes où il a participé à l’accession en Ligue 1 sous les ordres de Jean-Marc Furlan. « C’est là-bas que j’ai rencontré Cédric Faivre et Pape Dieye qui sont aujourd’hui mes coéquipiers à Colmar. »
Mais le néo-Vert n’avait semble-t-il pas besoin de connaître du monde avant de déposer ses valises à Colmar. « Doumé m’a appelé, puis Jean-Louis Jaegli, et j’ai tout de suite compris que ce club est sérieux. Ensuite, j’ai été surpris par les infrastructures. Pour un club qui vient de monter de CFA, il est hyper bien structuré et franchement je suis heureux d’être venu. Je ne parle pas de l’ambiance au sein de l’équipe, surtout dans les vestiaires à l’issue d’une victoire. »

« Ce club est sérieux »

Samedi soir, Sylvain Meslien a participé pour la première fois aux chants qui suivent une victoire. Un succès qui en dit long sur les possibilités du joueur et du club. « Ça s’est vraiment bien passé, souligne le joueur. Je m’entends bien avec Loïc (Meyer) en défense centrale et tant mieux si on n’encaisse pas de but. Mais comme tous mes coéquipiers, je ne vais pas m’enflammer. De toute façon, le coach nous précise avant chaque match que notre objectif n’est pas la montée, mais d’obtenir le plus rapidement possible les victoires nécessaires au maintien. Nous sommes en bonne voie. »


H.H
journal l'alsace du 02/02/2009

Mini balogou buteur contre dunkerque est une nouvelle fois convoquer en equipe nationnal du togo .Le togo jouera contre le burkina fasso a rouen le 11-2-2009.Bonne chance a lui.

Football / CFA : Moissy-Cramayel - SR Colmar (auj. 17h)

« Une maturité impressionnante »



Pape Dieye et ses coéquipiers ont convaincu face à Dunkerque. Leurs supporters en attendent autant à Moissy-Cramayel. (Photo DNA - Julien Kauffmann)

Requinqués par leur début d'année, les SR Colmar (3e) partent à l'assaut de la région parisienne en pleine confiance. Avant de rencontrer Sainte-Geneviève et Noisy-le-Sec, les Verts se déplacent à Moissy-Cramayel (16e).

APRÈS DUNKERQUE. - Face à Dunkerque, samedi dernier (2-0), les Colmariens ont réalisé une grosse performance. Peut-être leur meilleure, cette saison. « J'ai vraiment beaucoup apprécié, confirme Damien Ott, l'entraîneur colmarien. J'avais beaucoup insisté sur les erreurs commises lors du match contre Montceau. On avait fait preuve de beaucoup d'inexpérience. Cette fois, les joueurs ont montré qu'ils étaient capables de dégager une force collective et une maturité impressionnantes. »

« Si on force les choses,
ça va souvent
dans le mauvais sens. »


PAS DE CHANGEMENT. - Dans ces conditions, pas question de modifier quoi ce soit dans le groupe colmarien. « Tous les joueurs m'ont donné entière satisfaction, même si je n'ai pas effectué de changement. Il n'y avait d'ailleurs rien à changer. Quand c'est le cas, ça doit s'imposer. Si on force les choses ça va souvent dans le mauvais sens. Il ne faut pas trahir le jeu.
Même s'il y a des considérations tactiques qui entrent en ligne de compte, ce n'est pas dans mes habitudes de changer des gens performants. Je garde donc le même groupe. »
CONCURRENCE. - « Il faut qu'elle soit saine et que les choses se fassent toutes seules. C'est ce que je dis toujours aux joueurs. Ce n'est pas moi qui fait l'équipe, ce sont eux. Ce sont aux joueurs de m'obliger à les sélectionner parce qu'ils sont incontournables. J'ai surtout un rôle d'observateur. C'est sûr qu'actuellement le comportement du groupe me facilite la tâche. »
L'ADVERSAIRE. - Comme la plupart des clubs, Moissy s'est renforcé (du moins à fait signer trois nouveaux joueurs) à l'intersaison : Kenny Vigier, Brice Jovial et Ibrahim Camara de retour au club après un an et demi passé au Mans. Pas de quoi faire oublier que le club de Seine-et-Marne est en mauvaise posture (16e : 3v, 5n, 7d) avec notamment une attaque peu efficace (6 buts inscrits en 15 matches).

« Je remarque surtout
qu'ils sont 16 points
derrière nous. »


« Je remarque surtout qu'ils sont 16 points derrière nous. J'aimerais au minimum que ce soit toujours le cas quand on sera sur le chemin du retour. »
MATCHES EN RETARD. - La Fédération a fixé de nouvelles dates pour les matches en retard des SR Colmar. Les Verts se déplaceront à Mulhouse le mercredi 25 mars (20h) et à Raon-L'Etape le mercredi 15 avril (20h).

LE GROUPE. - SR Colmar : Aupic, Fedrigo ; Camatte, Fortuna, Meslien, Grosjean, Meyer, Bontemps ; Michon, Mezriche, Wagner, M'Tir ; Olivier, Dieye, Balogou, Khezami. Entraîneur : Ott.


Mathieu Pfeffer
DNA 07/02/2009

j'espere un match nul voir une victoire pourquoi pas

colmar est partis ce matin a 6h30 en bus avec une dizaine de supporter.ALLEZ les VERTS.

Pas de Zerbini ou Tritz dans le groupe ?

les SR Colmar tombent à Moissy

Mauvaise opération cet après-midi pour les SR Colmar: les joueurs de Damien Ott se sont en effet à Moissy-Cramayel (1-0), 16e avant la rencontre. Le club francilien sort du coup de la zone de relégation

lalsace.fr

Aux abonnés absents


MOISSY-CRAMAYEL 1
COLMAR 0

Mi-temps : 1-0. Arbitre : M. Perreau, assisté de MM. Bounahilidi et Panont. 150 spectateurs.
Le but : Guillerme (22e'). Avertissements à Guillerme (41e'), Tourville (68e') et Bonelli (81e') pour Moissy ; à Meslien (76e') pour Colmar.

MOISSY-CRAMAYEL : Casagrande - Giboyau, Akono, Bonelli, Tourville - Oubbana (c), Keita (Sediki, 84e'), Ragaven, Afaki - Guillerme (Vigier, 73e'), Almeida (Thiam, 85e').

COLMAR : Aupic - Canatte (Bontemps, 46e'), Tritz, Meslien, Meyer - Michon (c), Olivier (Moukhlil, 9e'), Mezriche (Khezami, 61e'), Wagner - Dieye, Balogou.

(APL) - Autant la copie de Colmar rendue contre Dunkerque était belle, autant contre Moissy hier en fin d'après-midi, elle fut bien pâle. Le thermomètre frôlant les 0° a rendu frileux Michon et ses équipiers. Le portier adverse, Casagrande, n'a pas eu l'occasion de se réchauffer franchement tant les attaques alsaciennes se sont avéré timides. « Maîtriser le ballon à 20 m du but adverse n'est pas suffisant. Il faut être efficace dans la surface et il me semble que l'on n'ait jamais rentré dedans », remarquait amer, Damien Ott, l'entraîneur.
Dans ses cages, Aupic a évité par quelques claquettes appropriées ou quelques réflexes sur sa ligne, un véritable naufrage. Le nombre de ballons perdus et les approximations furent trop nombreuses pour espérer l'emporter face à des Seine-et-Marnais incisifs, organisés et heureusement pour les verts, maladroits au moment de la conclusion finale.

« Mangés physiquement
et mentalement »

L'ouverture du score par l'avant-centre Guillerme qui avait pris de vitesse la défense et évité la sortie d'Aupic (22e') n'était pas volée de même que la victoire. Ott, qui a déploré la blessure de Olivier (9e'), ne cherche pas de prétexte à ce faux-pas enregistré au moment où son équipe en termine, elle, avec la première partie du championnat : « On a été mangés physiquement et mentalement par des adversaires plus forts que nous dans l'impact et qui a envie de s'en sortir. On n'a pas été bons, point final. Ça peut arriver mais le but est que ça n'arrive pas trop souvent. A nous de nous remettre en question cette semaine et de tirer les leçons de ce match. »
Il est clair que lors des deux confrontations à venir face à des formations franciliennes surtout moins bien classées, les copies devront être correctes au minimum.


Édition DNA du Dim 8 fév. 2009

CFA Colmar tombe de haut


Balogou et les Colmariens ont mordu la poussière, hier, sur la pelouse d’une équipe de Moissy surmotivée. Photo Yannick Bohn

Sénart-Moissy - SR Colmar 1-0. Mi-temps 1-0. Spectateurs : 250. Arbitre : M. Perreau Niel. But : Guilherme (23^e). Avertissements. Sénart-Moissy : Tourville (68^e) ; Colmar : Meslien (74^e).

Sénart-Moissy : Casagrande - Giboyau, Tourville, Bonelli, Akono - Keita (Seddiki, 83^e), Oubbana, Afaki, Ragaven - Almeida (Thiam, 85^e), Guillerme (Vigier, 73^e), Afaki. Entr. : Abreu.

Colmar : Aupic - Camatte (Bontemps, 46^e), Meyer, Meslien, Tritz - Michon, Mezriche (Khezami, 60^e), Olivier (Moukhlil, 8^e), Balogou - Gueye, Wagner. Entr. : Ott.

Une semaine après le probant succès à domicile face à Dunkerque, Colmar est tombé (0-1) de haut hier à Sénart-Moissy, l’une des équipes franciliennes en difficulté de ce championnat. Jamais dans le coup, les hommes de Damien Ott ont subi durant toute la rencontre la domination des Sénartais, très en verve pour leur retour à la compétition après six semaines sans compétition : « Nous n’avons pas été bons, tout simplement, raconte l’entraîneur alsacien. Nous nous sommes fait manger par une formation qui avait une plus grande envie que nous. Moissy nous a fait déjouer physiquement et mentalement. Voici ce que ça coûte de trop vouloir faire les beaux, après un match comme celui de Dunkerque. » Une analyse et directe, qui résume parfaitement le déroulé de la partie.
Dès la 8^e minute, les affaires débutent mal pour les Colmariens, lorsque sur une course anodine, Olivier ressent une vive douleur derrière la cuisse. Le milieu de terrain est aussitôt remplacé par Moukhlil, pris à froid. Colmar peine à sortir de sa moitié de terrain. Les Sénartais sont morts de faim, à l’image de leur milieu de terrain qui récupère tous les ballons. Seul Balogou se montre dangereux, mais le rapide attaquant échoue devant Casagrande, bien sur ses appuis (19^e). Les Alsaciens ne le savent pas encore, mais ce sera leur seule occasion nette de la rencontre. Car derrière, Sénart-Moissy ne lâche rien.
C’est d’abord Ragaven qui balance un missile, bien sorti de sa lucarne par Aupic (20^e). Trois minutes plus tard, Keita envoie en profondeur son buteur Guilherme, lequel ne se fait pas prier pour dribbler le portier colmarien (1-0, 23e). Les deux formations se tiennent jusqu’à la pause, mais malgré une belle soufflante de Damien Ott dans les vestiaires, rien ne change au retour. Il s’en faut même de très peu pour que les Seine-et-Marnais ne doublent la mise, d’abord par Ragaven (58^e), puis dans la minute suivante par Keita, qui oblige une nouvelle fois Aupic à faire le spectacle. Malgré une légère pression en fin de match, Colmar revient donc bredouille : « Ca peut arriver, mais il ne faut pas que ça se reproduise trop souvent, lâche Damien Ott. Il faut savoir reconnaître quand on a péché. Nous avons pris une leçon, à nous de nous en servir pour les prochains matches. » À commencer par Sainte-Geneviève, un autre francilien à la recherche de points pour le maintien, samedi prochain.

L'Alsace du 08/02/2009

Zebra68 a écrit:Pas de Zerbini ou Tritz dans le groupe ?

Tritz a joué le match

tritz a jouer a la place de fortuna blesser au talon depuis 3 semaine.zerbini a jouer avec la dh pour gagner 3-0 a mars bisheim en championnat.

jean-mi a écrit:tritz a jouer a la place de fortuna blesser au talon depuis 3 semaine.zerbini a jouer avec la dh pour gagner 3-0 a mars bisheim en championnat.

c'est normal zerbini n'a pas joué 1 match depuis le debut de saison

« On nous a marché dessus »


Salim Mezriche et les Colmariens doivent réagir après leur non-match contre Moissy. (Photo DNA - Julien Kauffmann)

Battus samedi en Région Parisienne face à une formation en lutte pour le maintien, les Colmariens (CFA) n'ont pas montré grand-chose dans le jeu. Une réaction s'impose.

Ni le résultat, ni la manière. Samedi après-midi à Moissy-Cramayel, les SR Colmar ont sombré corps et biens face à une formation qui abattait une carte importante pour le maintien (1-0).
« On est tombé sur un adversaire qui avait plus de jambes, plus de tête que nous. Ils nous ont fait ce qu'on avait fait à Dunkerque : ils nous ont marché dessus », reconnaît Damien Ott. L'entraîneur colmarien a bien du mal à relever quelque chose de positif de cette sortie. Si ce n'est qu'elle doit servir de leçon pour les prochaines semaines.

« On n'a pas été bon, on le
sait tous, il ne s'agit pas
pour autant de sanctionner »


« On arrive dans une phase de championnat où beaucoup d'adversaires jouent leur peau. A Moissy, on n'a pas été capables de réagir. A nous de nous adapter. Ce qui ne veut pas dire que ça sera simple ! »
Ça le sera même d'autant moins que Sainte-Geneviève et Noisy-le-Sec, les deux prochains adversaires des Colmariens, sont exactement dans la même situation que Moissy.
« Ça sera la même chose. Exactement. Mais cette fois, on est averti. Dans la préparation du match, on changera certainement des choses. Parce qu'il faut éviter à tout prix d'entrer dans un cycle de défaites ».
De ce côté-là, Damien Ott ne s'inquiète pas trop. « Mon groupe est suffisamment mûr pour réagir. On ne va chercher des erreurs où elles ne sont pas. On n'a pas été bon, on le sait tous, il ne s'agit pas pour autant de sanctionner, de se tirer dessus. A nous d'être meilleurs ».
Même si une défaite face à l'un des derniers de la classe ne fait pas plaisir, même si les SRC avaient l'occasion samedi d'assurer presque mathématiquement leur maintien, cette défaite n'est après tout que la quatrième de la saison pour une équipe qui s'est dans le même temps imposée à huit reprises. Bref, il y a encore de marge avant de tirer la sonnette d'alarme.
« Il faut savoir reconnaître quand l'adversaire est supérieur. C'était le cas de Moissy. Ils nous ont empêché de développer notre projet de jeu. Contre Dunkerque, Robert (Pavlinic) m'a sorti des stats. On a gagné 80% des duels au sol. C'est énorme. Contre Moissy, c'était exactement le contraire. Il ne faut pas chercher plus loin pourquoi on a perdu. »
Il ne faut pas non plus chercher plus loin le message que Damien Ott fera passer cette semaine à ses joueurs...


C.T.

Claquage pour Olivier


Les SR Colmar ont perdu plus qu'un match, samedi soir en région parisienne. Julien Olivier, en pleine bourre ces dernières semaines, n'a passé que dix minutes sur la pelouse. Victime d'un claquage, il devrait être absent au minimum un mois. Moins grave, Cédric Camatte, malade durant la semaine, n'a tenu qu'une mi-temps. Il souffre d'une pointe derrière la cuisse. Enfin Loïc Fortuna, diminué durant la semaine, n'a finalement pas été aligné, au profit de Stéphane Tritz, qui a été qualifié par la Fédération.

Édition DNA du Lun 9 fév. 2009

SRC « On a des choses à apprendre »



Damien Ott : « on est toujours en phase d’apprentissage. » Photo Yannick Bohn

Les Colmariens sont tombés de haut, samedi à Moissy. Incapables d’élever le niveau de leur jeu, les hommes de Damien Ott ont été chahutés par l’avant-dernier du championnat.

Les Verts nous avaient laissé une superbe impression, le samedi précédent face à Dunkerque au Stadium (2-0) lors d’un de leurs matches sans doute le plus accompli. Huit jours plus tard, les observateurs n’ont pas reconnu cette équipe conquérante en intransigeante qui avait décidé de ne rien lâcher. Damien Ott revient sur ce match conclu par une victoire des Franciliens (1-0), un score flatteur pour les Alsaciens.

Que s’est-il passé lors de ce match ?

On s’est tout simplement fait manger par une équipe performante et des joueurs déterminés. On a été attaqués de toutes parts et on a été incapables de répondre. C’était une faillite collective. Je n’ai pas reconnu mes hommes.

Comment expliquez-vous un tel décalage entre deux rencontres à huit jours d’intervalle ?Je pense qu’après notre excellent match face à Dunkerque, on a tout simplement oublié de se remettre en questions durant la semaine. Joueurs et entraîneurs. On ne s’est pas préparé à aller au combat et on s’est fait surprendre par cette formation. Ensuite, il ne faut pas oublier qu’on a rencontré une équipe qui jouait déjà sa survie. Ce genre de rencontre, il faut apprendre à les gérer, c’est nouveau pour nous. Et on a intérêt à apprendre vite car les deux prochaines rencontres seront identiques contre deux adversaires, Sainte-Geneviève chez nous et Noisy-le-Sec, qui sont exactement dans la même situation que Moissy. Quand tu as un espoir de survie, tu parviens à développer des forces supplémentaires. D’ailleurs Noisy ne vient-il pas de battre le leader Montceau ?

Au vu du classement après le match face à Dunkerque, certains observateurs reparlaient d’accession. Qu’en pensiez-vous ?

Restons sérieux. Il faut que les choses soient bien claires. Ça ne peut pas être notre objectif. Le match de samedi nous a prouvé qu’on est encore en phase d’apprentissage. On fait encore preuve de trop d’irrégularités pour voir plus haut, même si, en interne, on est très ambitieux. Il reste encore trop de paramètres à maîtriser, sur le terrain et en dehors du terrain. On ne peut pas envisager autre chose que d’accumuler de bonnes performances. La preuve est qu’on n’a pas été capables de mettre l’avant-dernier du championnat en péril sur son terrain. On ne veut pas brûler les étapes. Il faut d’abord dégager une image de sérénité avant de viser plus haut.

D’autant que vous déplorez un nouveau blessé…

Au moment où il a retrouvé sa place de titulaire en équipe fanion, Julien Olivier s’est en effet fait un beau claquage. Il a sans doute payé ses efforts pour intégrer le groupe. Et son pied droit nous a manqués.


Recueilli par Hubert Himburg

L'Alsace du 09/02/2009

Damien Ott est comme son équipe toujours en apprentissage

C un rigolo Ott, il connait pas grand chose au foot

et en plus un grand profiteur des hommes et des structures

Un grand profiteur des hommes c clair on peut le dire et surtout pas d'expérience et pas de communication

c'est la qu'on voit que quand un entraineur a fait une carrière pro de joueur, ca peut aider pour communiquer avec son équipe

Il a vraiment de la reussite que son équipe tourne à peu pres mais le vent tournera

C'est ce qui l'a coulé à Mulhouse .
Sa mauvaise communication....

Il ne communiquait même pas avec son entraineur adjoint de l'époque .

Mais bon on lui à fait vivre un enfer à Mulhouse ....

c t qui l'entraineur adjoint a damien?