BRC site du club:tout va bien madame la marquise!

brcfoot.com a écrit:Réuni autour de son Président, Vincent Diaz, le bureau du BRC le jeudi 20 août 2009, a pris les options suivantes :

- Éviter par tous les moyens possibles, le dépôt de bilan, qui entraînerait une disparition à long terme du club, et donc du football au niveau national dans la capitale régionale.

- Proposer à la Ville de Besançon le paiement de la créance CREDITEC au BRC, à travers la signature par le Président de cette société de cinq traites mensuelles de 40 000 Euros, payables au cours de la saison 2009-2010.

Espérant que cette initiative amènera le déblocage d’une situation qui ne peut plus perdurer, le Président et son bureau appellent les Bisontines et les Bisontins à soutenir les joueurs et les entraineurs de l’équipe première du BRC, ce samedi 22 août, en déplacement à Marck (Pas-de-Calais) en CFA.

source brcfoot.com

ESTRépublicain a écrit:Rien n'est encore perdu ! »
Garantissant qu'il paiera les dettes privées, Vincent Diaz tend la main à la mairie, prêche l'union sacrée et demande un prêt pour sauver le club centenaire de la ville.

BESANÇON. _ Le président du BRC signe son retour par un vibrant appel.
- La situation financière de votre société est au centre des débats ?
- La rumeur est rarement le reflet de la vérité. J'ai connu des difficultés liées à la crise, mais Créditec n'est pas au bord du dépôt de bilan. Les affaires reprennent et on va s'en sortir.
- ...
- Je suis à jour fiscalement. Un échéancier a été mis en place pour régler mes créanciers. Je paierai ce que je dois dans les mois qui viennent. Je suis assez optimiste sur le contexte économique général.
- On évoque également des dettes vis-à-vis de la FFF et des clubs dont vous êtes le sponsor ?
- J'ai effectivement entendu ce genre de con... comme quoi la DNCG aurait fait payer au club mes retards de paiement de sponsoring. C'est faux ! Je n'ai aucune action en cours avec la FFF liée à l'équipe de France depuis trois ans. Quant à Lyon, Auxerre et au PSG, je leur ai réglé ce que je devais. Arrêtons de dire n'importe quoi !
- Il n'en demeure pas moins que le déficit du BRC se situe entre 700 et 800.000 euros ?
- C'est à la fois vrai et faux dans la mesure où je paierai, quoi qu'il arrive les 225.000 de dettes privées (voir ci-contre). Sur cette somme, je suis caution solidaire sur mes biens personnels.
- Certains doutent que vous parveniez à éponger la dette ?
- Je suis partenaires de clubs de Ligue 1 tous les ans à la hauteur de 900.000 €. C'est indispensable à mon activité, mais croyez-vous que cela m'empêchera de verser 225.000 € au BRC ?
- Selon vous, quelle est la solution globale ?
- Il n'y en a pas cinquante mais rien n'est perdu. En mon absence, le bureau a proposé que la ville nous accorde une subvention exceptionnelle de 200.000 € pour éponger le déficit 2008-2009 de 240.000 € (NDLR : 40.000 € vont à la SASP) et qu'elle nous prête 300.000 € remboursables sur trois ans pour boucler le prochain budget.
- C'est quand même aléatoire ?
- D'une part, j'ai trouvé plusieurs nouveaux sponsors. D'autre part, Créditec est de toute façon présent afin que la ville ne soit pas lésée dans ce projet de redressement.

« Je veux laisser ma place propre »

- A ce propos, où en sont vos relations avec la Mairie ?
- Je suis quelqu'un de passionné, de sanguin et je regrette de m'être emporté verbalement à plusieurs reprises.
- C'est un peu facile, non ?
- Je le répète, je fais amende honorable. L'heure est à l'union sacrée. Jean-Louis Fousseret et moi avons un objectif commun, sauver un des plus vieux clubs de Besançon et ne pas laisser plus de 500 licenciés dans la nature. Que le BRC vive serait une victoire politique pour le maire. Nous demandons un dernier coup de pouce et nous nous engageons à régler 525.000 €. (300.000 + 225.000)
- Que pensez-vous du débat passionné déclenché par le BRC ?
- Sur un plan général, je suis surpris par le nombre de gens et d'élus qui portent, du jour au lendemain, des jugements péremptoires et définitifs sur le sport alors qu'on ne les a jamais vus au stade. C'est de la récupération pure et simple.
- Vous en faites désormais une affaire personnelle ?
- Même si ma famille et moi vivons des semaines pénibles, je veux laisser ma place propre quand je partirai.
- Et si le comité directeur vous demande de démissionner ?
- Je vais poser la question pour savoir où j'en suis, mais cela ne changera rien... Je veux me battre pour sauver le Racing avant qu'il ne soit trop tard. Si nous parvenons à notre but, il sera temps pour moi de faire le point et d'en tirer toutes les conséquences
SOURCE : Est Republicain-FREDERIC VIAL

gregs a écrit:ça continue sur leur forum Monsieur Diaz est un héro je pense que Philippe Rauch aurait adoré être club président du BRC....Quoiqu'il en soit et même sis ce ne sont pas nos problèmes je trouve scandaleux que ce club ait pu fausser le championnat et que nous et Compiègne soyons les dindons de la farce!!!!!Je voudrais bien que notre président réagisse a tout cela et nous donne son point de vue sur toute cette affaire qui vient de ce PETIT club et je ne parlerais même pas de ses supporteurs!!!
ALLEZ FCM

Marcus a écrit:Toujours est il que sous la colère je suis aller poster Deux messages sur footnational, qui ont été verrouillés : Concernant ce site de la pensée unique et sur la longevité du BRC avec copie de la lettre du maire de Besançon que Zebra a mis en ligne.